Il était une fois... Wolfie : the origins
Par Meow le vendredi 14 avril 2017, 16:09 - Gryff'Time n°50 - Lien permanent
Wolfie : the origins
Vous avez dû croiser au détour des canapés moelleux de notre salle commune, ce gros pacha de chat auquel chacun s’attacha dès le premier regard.
Bedonnant, flegmatique,
Et non moins sympathique,
Nous parlons bien ici
Du ronronnant Wolfie.
Mais savez-vous vraiment d’où vient ce garnement ?
Oui oui, j’en conviens, cela semble étonnant.
Mais à ce chat joueur,
On attribue l’honneur de…
Descendre d’un fondateur.
Ou plus exactement du velu compagnon
Du père des Rouge et Or,
J’ai nommé, sans prétention,
Godric Gryffondor.
On dit qu’une nuit où il se promenait dehors,
Sous la lune qui éclairait faiblement la forêt interdite,
Le chaton aperçut une lumière d’or,
Qui le guida vers une clairière maudite.
Là, il disparut.
Jamais on ne le revit.
Godric, tout espoir perdu,
Regretta son ami.
Le temps passa,
Les mois, les années filèrent,
Bientôt, la perte du petit chat,
Les élèves oublièrent
Mais vous trouverez,
Si vraiment vous l’osez,
Les empreintes cristallisées
De l’animal dans la forêt
On dit que l’herbe y a poussé
D’une façon bien singulière
Car dans les traces laissées
Se développèrent d’étranges fougères
Et pour briser le sort, attention !
Il faudrait déployer des trésors d’efforts
A l’égard de notre belle maison
Et honorer Gryffondor
De la plus belle des façons
Maintenant, j’aurais une question
Faites appel à votre raison :
C’est à l’aube de la 50e publication
Du journal de maison
Que l’équipe trouva la petite bête rodant à Pré-au-Lard.
Mais dites-moi donc,
Par un jour de si grand soleil…
N’est-il pas étonnant que l’on vit
Emerger d’un incroyable et épais brouillard
Celui qu’on baptisa Wolfie
Quelques jours plus tard ?
Bedonnant, flegmatique,
Et non moins sympathique,
Nous parlons bien ici
Du ronronnant Wolfie.
Mais savez-vous vraiment d’où vient ce garnement ?
Oui oui, j’en conviens, cela semble étonnant.
Mais à ce chat joueur,
On attribue l’honneur de…
Descendre d’un fondateur.
Ou plus exactement du velu compagnon
Du père des Rouge et Or,
J’ai nommé, sans prétention,
Godric Gryffondor.
On dit qu’une nuit où il se promenait dehors,
Sous la lune qui éclairait faiblement la forêt interdite,
Le chaton aperçut une lumière d’or,
Qui le guida vers une clairière maudite.
Là, il disparut.
Jamais on ne le revit.
Godric, tout espoir perdu,
Regretta son ami.
Le temps passa,
Les mois, les années filèrent,
Bientôt, la perte du petit chat,
Les élèves oublièrent
Mais vous trouverez,
Si vraiment vous l’osez,
Les empreintes cristallisées
De l’animal dans la forêt
On dit que l’herbe y a poussé
D’une façon bien singulière
Car dans les traces laissées
Se développèrent d’étranges fougères
Et pour briser le sort, attention !
Il faudrait déployer des trésors d’efforts
A l’égard de notre belle maison
Et honorer Gryffondor
De la plus belle des façons
Maintenant, j’aurais une question
Faites appel à votre raison :
C’est à l’aube de la 50e publication
Du journal de maison
Que l’équipe trouva la petite bête rodant à Pré-au-Lard.
Mais dites-moi donc,
Par un jour de si grand soleil…
N’est-il pas étonnant que l’on vit
Emerger d’un incroyable et épais brouillard
Celui qu’on baptisa Wolfie
Quelques jours plus tard ?
Un article illustré par Maïwenn et rédigé par Amelia
Commentaires
Très beau conte versifié! :3
C'est sûr notre petit Wolfie est magique! ^^