Ils reviennent! =O

Le retour des animaux migrateurs

 

Le printemps est là, le soleil pointe enfin le bout de son nez, la température devient agréable. Les filles ont ressorti les jupes, les garçons les shorts. Le parc se remplit, tout le monde se presse pour profiter du beau temps. Les élèves attendent avec encore plus d’impatience que d’habitude la fin des cours. Les pics-niques improvisés dans l’herbe verte se multiplient. Certains courageux tentent même une petite baignade dans le lac. Les papillons virevoltent, les lapins sautent partout. Même Maurice pointe son museau face à l’appel des doux rayons de soleil. Bref, tout le monde est content et la vie est belle.

Tout pourrait être parfait. Mais il fallait qu’ils viennent gâcher la fête. Comme chaque année. Chers Gryffondors, j’ai le malheur de vous annoncer qu’ils reviennent ! Et oui. On les aurait presque oubliés. Ils nous avaient laissé bien tranquilles tout l'hiver. Et quelques uns d’entre vous avaient espéré qu’ils se perdent en chemin. Mais non ! Ils sont bel et bien de retour. Les ANIMAUX MIGRATEURS sont revenus sans prévenir, comme à leur habitude.

Ils viennent vous picorer votre gouter, vous salir votre nouvelle chemise en lâchant leurs excréments tout moches et nauséabonds dessus ! Ils viennent vous roucouler dans les oreilles alors que vous êtes tranquille à faire votre sieste digestive dans l’herbe. Ils se sont prélassés dans les pays chauds durant tout l’hiver, ils sont revenus s’amuser et nous pourrir la vie !

Le meilleur moyen d’éviter leurs attaques seraient de sortir systématiquement muni d’un parapluie -meilleur moyen pour stopper les excréments avant qu’ils ne vous tombent dessus- (/!\ Attention certains sont de vrais tireurs d’élite). Et ne laisser jamais votre sandwich ou votre gâteau sans surveillance. Vous pourriez être victime de vol ! En effet, ces goinfres sont près à tout pour se nourrir.

En attendant l’hiver et leur prochaine migration vers les pays chauds, nous n'avons qu'un conseil de plus à vous donner: tous à couvert !

 

Article écrit par Gloria Fowl.